CHAPITRE XV.
en profitant de tout ce qui a déjà été dit. sous la forme
fi ' ov V l d(\oga)
— — b ¡jl n-SsA Ion
d(il)
(i)
dn
i dt
i dt
4 H-' S î A ),
i dt
'i — 4 d 11 2 DA -+- ¡j.' n X A[a -i- /)] -+- -+- /T -4- r-i
— M : 2 (/>i-+-/>2— 2 Cl — 2/’ 2 )-+- . . .],
dz ! ,
£ ' 2 i dt ~ ^ n ' 1- é*2 ■+■ - 1 E 2 ( 2 />2 i C] — /- 2 )+ ■ • • ],
¿£ 2
i dt
d'i
= « SA( />, — s, £ 2 (‘A/?i -t- s — /’i — . .],
Y 2 -r^r- = U.' n ( I + 2 £, £
i dt
.,)ZA[— rj— TlT2 (s—/0 + /> 2 ) ],
= M- n ( 1 * ; i s 2 ■+■ • • • ) S A [ /•[ Yi y 2 (.v — /-*i h— 2 ) ] ;
les coefficients dont nous n’avons écrit que les premiers termes sont
des séries entières par rapport à e, e 2 .
Conservons alors, afin de ne pas surcharger les notations, les
lettres n , a, /, ... pour désigner les valeurs de première approxi
mation que l’on adopte pour les éléments des diverses planètes, et
soit / = v t + /„ : /i, a, v, / 0 , ... sont des constantes ; on a
n -a :i = r -+- m ),
et la différence n — v, qui est de l’ordre des masses perturbatrices,
sera appelée v°. Soient de plus /¿°, /°, s®, ... de nouvelles constantes,
de 1 ordre des masses perturbatrices encore ; les inconnues //, /, s,, ...
peuvent se mettre sous la forme
n -t- n° -t- on +- 8 2 /l -f- ...,
/ + (ft°+v«)i + O 2
£ 1 —H —i~ §£] -f- 0“ £] —}— ....
en représentant par
n° -+- 0«, O 2 //,... , ( n 11 -h V° ) t -H 1° -f- Si, O 2 /, . . . , £ J H— , Ô 2 £ 1 , . . . .
leurs perturbations des divers ordres par rapport aux masses ; et pour