directeurs y > t, en négligeant toujours <r 2 .
La latitude A du lieu considéré, c’est-à-dire l’angle de la verticale
avec l’équateur, est donc déterminée par l’équation
sin À = sin 8 -+- cos 3 f cos a 4- sin a j,
\J / 7
c’est-à-dire que l’on a
i 0 p q ■
A = b + cos a -i- -. si u a,
J J
si du moins le point considéré n’est pas dans le voisinage de l’un des
pôles.
Le méridien du lieu est parallèle à la verticale et à l’axe de
rotation; les cosinus directeurs de la normale à ce méridien, menée
dans le sens direct, sont donc proportionnels à
cos 3 ?ia a — sin 3, — cos 3 cos a 4 - -.sin 3
‘ J J
et par suite égaux à
/ q
cos a —
\J
P • \
sin a )>
sin |y 4- tang p ^ sin a — cos a j
— cos fa -f- tang ¡3 (-. sin a — cos
q p ■
cos a — — sin a
ainsi que le montre un calcul simple.
Si nous envisageons alors un second lieu pour lequel la verticale
sera définie au même instant par les angles analogues a', ( 3 r , la
différence des longitudes pour ces deux lieux, c’est-à-dire l’angle de
leurs méridiens, sera
y! -
- a -t- tang
( sin a'
— —. cos a' j
— I a ng 3
P ■
- sin a —
q \
-. cos a
\J
y /
\y
y /
Ces diverses réflexions justifient encore ce que nous avons dit
précédemment au sujet de la signification de 1 angle v.
160 . La théorie que nous venons de développer et les données
sur lesquelles elle s’appuie nous font connaître la position de l’éclip-