CHAPITRE XXVI.
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tique de l’époque t par rapport à l’écliptique de l’origine du
temps (i 85 o,o), et celle de l’équateur de l’époque t par rapport à
l’écliptique de la même époque. En raison des besoins astrono
miques, il est encore nécessaire de connaître les positions de l’éclip
tique et de l'équateur de l’époque t par rapport à l’écliptique et
l'équateur d’une autre époque quelconque t ,. Tel est le problème
que nous devons encore résoudre.
Résumons d’abord les résultats acquis en changeant légèrement
les notations, pour les rendre plus conformes aux usages.
Soient E 0 , y 0 l’écliptique et l’équinoxe moyen de l’origine du
temps; E, y, A l’écliptique, l’équinoxe et l’équateur de l'époque £,
Fig. c.
l’équinoxe (de printemps) étant par définition le nœud ascendant do
l’écliptique sur l’équateur {fig- c).
N étant l’un des nœuds de E sur E 0 , nous avons fait y 0 IS = 2 f, et
I inclinaison correspondante est /; ces quantités sont définies par
les valeurs de
p = sin i sin S, q = si il i cos 2?.
L’are ylS 1 , que nous nommerons maintenant w, est égal à ce que
nous avons appelé ci-dessus 3 ? — 0, et par suite, on a
co — 3 = — 0 = h t, -+- h' t i -+- h" t 3 -f- 1 ’,
en remplaçant —AO par P.
L’obliquité de l’écliptique, que nous nommerons e, est égale à ce
ce que nous avons appelé — e, et par suite.
£ = ||)+1°/+^ X' / 2 + j X" t 3 -+- Q.
en remplaçant — As par Q.
Quand on fait abstraction de la nutation, c’est-à-dire des termes