382
CHAPITRE XXVI.
que s-q-T^ nécessairement symétriques par rapport à / et on
pourra clairement écrire les développements qui suivent, en conti
nuant à ne pas dépasser le troisième degré par rapport à / et t K :
j = 5°(/ — / 1 ) -+- -(/ 2 — /?) ■+- s"tt x {t — /j) -t-a(/— / 1 J 3 ,
g — = —y°(Z — /j) — 7 > (/*—/î)-v'//,(/- /i)+P(/ —Zi) 3 ',
+ ffi = 2 00-+- 0'(Z H- ) -t- 2 0"//, -+- y(Z — / 1 ) 2 ,
a, p, y étant trois coefficients à déterminer (le développement de
a- —f— a-, ne peut être porté plus loin, comme on le voit immédiate
ment d’après les données acquises).
L’identification donne sans peine
S = — 4 — ΰ* 0 (v°+ 0') = o", 10,
r 3 12
40"— v' sVvO-t-0')
(1 1 6s» ^ 117 ’
par suite, finalement :
"1 = 17 3 °29'40"-+- 3'2863"/i H- 56 " (]
-r-(— 8.691"— 55'/1) (/ — /))+ 3"(/ — /1 ) 2 ,
n — Gy — ( 50245", 3o H- 222", 27 /] -f- o", 26 — l\ )
-t- (1 11 13 -t- o",v>6 /1 ) (/ — /1) 2 -+- o", 1 o (/ — /1) 3 ,
./= ( 47 1 ",41 — 6",80 Zi-t- ü ',57 «f)(z — / 1 )
-t-(— 3 ", 4 o-t- o", 5 " /1 ;(/ — /1 ) 2
-i-o",oj (t —/]) 3 !
L’angle a- — 7, est la précession générale entre les époques /< et /.
Définissons maintenant de la même façon la position relative des
équateurs moyens A et A, des deux époques / et /,, en employant les
mêmes lettres S, S,, J, au lieu de 7, 7,, j. On aura cette fois les
équations
c/S ,Æi