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INTRODUCTION.
différentes étoiles entre les limites 1806 et 1817. Cependant le grand nombre des étoiles
comparées et la petitesse des mouvements propres ont effectué, que les erreurs qui prove
naient de cette inexactitude de l’époque, s’affaiblissaient considérablement dans les résultats
moyens. Je n’ai exclu que l’étoile cr Draconis, à cause de son mouvement propre annuel
considérable de 1 J5 = 0,5 du grand cercle en ascension droite et de 1^8 en déclinaison.
Parmi les autres étoiles, il n’y a qu’un très-petit nombre, dont le mouvement propre annuel
en ascension droite monte à 0^3 du parallèle, et à 0'15 en déclinaison, et pour la majeure partie
des étoiles, le mouvement s’exprime par des centièmes de seconde. Voici les corrections du
catalogue de Groombridge, relativement aux zones de M. Argelander, déduites sur ce
principe, à l’aide de 170 et de 162 comparaisons.
Déclinaison.
Déclinai
son moy
enne.
Nomb.
de
comp.
Différ. moyenne en
ascension droite
A — G
Différence
calculée par
la form.
F ormule
— observ.
V
v Cos d
Nomb.
des
comp.
Différence moyenne
en déclinaison
A' — G'
44° à 48°
46° 19'
13
-4- 3;'38zp0; ; 40
-4- 4"16
h-0;'78
-4-0;'54
13
-t-O^ipO^l
48 « 52
49 29
21
-i- 4,41zp0,40
-+- 4,38
—0,03
—0,02
20
-+-I,10zp0,24
52 « 56
53 27
16
-h 4,81zp0,36
-i- 4,70
— 0,11
— 0,07
15
-i-0,l 4ip0,16
56 « 59
57 31
23
—i— 5,72zp0,52
-t- 5,09
— 0,63
— 0,34
20
-i-0,35zp0,25
59 « 62
60 55
18
-h 6,07zp0,78
h— 5,49
—0,58
— 0,28
18
-i-0,60=p0,38
62 « 65
63 29
12
-4- 6,35=p0,96
-+- 5,86
— 0,49
— 0,22
12
-4-0,57zp0,26
65 « 69
67 1
20
5,68zp0,95
-u- 6,49
-4-0,81
h-0,32
20
-4-0,40=p0,20
69 « 72
70 5
13
h- 6,39zpl,18
-4- 7,20
-i-0,81
-+-0,28
12
-i-0,17=p0,32
72 « 74
72 50
12
-h 7,86zpl ,42
- 4 - 8,05
-4-0,19
-4-0,06
12
-4-l,70q=0,41
74 « 78
76 4
14
-h 8,59zpl,43
- 4 - 9,45
-i- 0,86
-i-0,17
12
H-0,37=p0,29
78 « 80
79 3
8
- 4-1 l,42qp2,72
- 4-11 ,47
h-0,05
-4-0,01
8
H-l,65=p0,41
Les erreurs probables, données dans les colonnes 4 et 9, sont déduites de l’accord des
comparaisons isolées. Les différences en ascension droite vont en croissant avec la déclinaison,
et peuvent être convenablement exprimées par
A — G — m-\-n tang 3,
où m exprime la correction rélative des équinoxes de Groombridge. En résolvant les équa
tions qu’offrent nos onze A — G , d’après la méthode des moindres carrés, eu égard aux poids
qui conviennent à chacune des différences citées, on trouve l’expression numérique pour les
ascensions droites que voici:
A — G = -+- (2"31 zp 0 r ;56) -f- (1*77 zp 0"36) tang 3.
La comparaison de la formule avec les onze chiffres trouvés par l’expérience, voir les
colonnes 6 et 7 de notre tableau, présente un accord satisfaisant.
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