INTRODUCTION.
XV
fil = qz 1,965 (Seclion V), et l’erreur probable en ct = z+z 1(070 est donnée par M. Argelan-
der, dans l’introduction de ses zones. Comme chacune des étoiles qui servaient pour trouver
le chiffre z+z 0(541, est observée approximativement sur 2,4 fils, nous obtenons l’influence
composée de ces erreurs sur le nombre z+z 0(541 :
l/i a //C'269^2 ,l''070 x 2i\ A „ CAA
v [ 2 ((-*?-) -+■ (ij-) ) ) = =f °> 500 ;
et par conséquent l’influence de l’irrégularité de l’arc du mural de 4?7 :
Y ((0('541 } 2 — (0('500) 2 ) = z+z 0('208.
Peut-être ce résultat, qz 0^208, est encore assez éloigné de la vérité, vu que le nombre
50 des déterminations est trop petit pour une recherche tellement délicate. Aussi n’ai-je rap
porté ce résultat que pour démontrer, que la supposition d’un arc du grand cercle, pour le
chemin de l’axe optique, est de très-près juste.
Il suit des méthodes de la détermination de e , que la précision en diminue, à mesure
qu’on prend des points plus éloignés du milieu de la zone. Par conséquent, pour la plus exacte
détermination de la quantité u-+-e, j’ai choisi presque toujours les étoiles qui étaient situées
en dedans de la zone de 2 ° de large, ou voisines; et j’ai pris la moyenne arithmétique des
différents u-t-e obtenus ainsi. Quant aux quatre zones de Lalande de près de huit degrés en
déclinaison, savoir celles du 26 nov. 1789, du 18 et 19 janv. 1790 et du 29 mars 1790, je
les ai subdivisées en deux moitiés, et j’ai donné pour chaque moitié une table de réduction à part.
Quant à <p-t-c-+-p, nous pouvons déduire cette quantité directement des équations (c) et
(c ), vu que ces trois inconnues ne dépendent point de z. La moyenne de plusieurs détermina
tions, fournies par les étoiles choisies pour la réduction d’une zone, donne la valeur finale
<p—f-c-f- ç.
Les valeurs de u-v~e et cp-t-c-t-p étant trouvées, je les ai ajoutées aux AA-t-t/ [t — T)
et aux À D ou — AD, quantités que donnaient les tables provisoires. Par ce moyen, j’ai con
struit de nouvelles tables qui, avec les petits tableaux des e et des corrections k" de (AA/, ont
formé des tables complètes, pour la réduction des zones qui se trouvent dans les Mémoires
1789 et 1790.
11 se pouvait que quelques-uns des passages, employés à trouver les e et e, fussent sujets
à de fautes graves. Pour découvrir ces cas, j’ai comparé entre elles les ascensions droites,
des étoiles identiques dans différentes zones surtout voisines du pôle. Le manque d’accord
entre les ascensions droites multiples des étoiles indiquait alors des incertitudes dans les
e et e\ combinées avec des fautes d’observation. Dans ces cas, j’ai soumis les zones à une
nouvelle recherche par rapport aux e et e. Cette dernière vérification importante étant
achevée, j’ai obtenu les tables de réduction définitives qui sont mises à la fin de notre
introduction.