Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

Première Partie. Livre I. 
107 
Maintenant, si nous mettons, pour abréger: 
V = V — G 
nos résultats seront les suivants: 
cos b sin Z = sin v — - ( i -f f) V {sin v + sin (v — 2 (ß l — G))) 
— b 1 + f ) ^(( 0 ) COSV sin (v — //, -f G). 
( 33 ) 
On peut remarquer que, dans ces formules, les termes dépendant de 
((C)) 2 ont complètement disparu. 
Des formules dernièrement mises en évidence, on tire facilement quel 
ques relations dont l'usage peut être très favorable: je vais les déduire. 
En vertu des équations (31), on obtient immédiatement la relation 
qui est indépendante de l'agrégat périodique G. 
Puis, les deux équations mentionnées se remplacent par les suivantes: 
Nous admettons toujours que G soit une petite quantité du deuxième 
degré et, que ((0) soit très petit par rapport à 1 \ alors, les équations 
précédentes montrent que la différence 0 — est un agrégat périodique, 
puisque i 9 1 est aussi isocinétique avec $, l’angle 0 est aussi isocinétique 
avec l’angle #. 
(34) 
sin* 2 = V + 2 j(( 0 ) cos (v — iVjj + ((O) 2 , 
(35) 
sin i sin (© —— ) == I sin G -f- ((0) sin (v #j), 
sin i cos (0 — = Icos G -f ((C)) cos (v — 
d’où il s’ensuit que les deux arguments 0 et sont isocinétiques. Mais
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.