Première Partie. Livre I.
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Maintenant, si nous mettons, pour abréger:
V = V — G
nos résultats seront les suivants:
cos b sin Z = sin v — - ( i -f f) V {sin v + sin (v — 2 (ß l — G)))
— b 1 + f ) ^(( 0 ) COSV sin (v — //, -f G).
( 33 )
On peut remarquer que, dans ces formules, les termes dépendant de
((C)) 2 ont complètement disparu.
Des formules dernièrement mises en évidence, on tire facilement quel
ques relations dont l'usage peut être très favorable: je vais les déduire.
En vertu des équations (31), on obtient immédiatement la relation
qui est indépendante de l'agrégat périodique G.
Puis, les deux équations mentionnées se remplacent par les suivantes:
Nous admettons toujours que G soit une petite quantité du deuxième
degré et, que ((0) soit très petit par rapport à 1 \ alors, les équations
précédentes montrent que la différence 0 — est un agrégat périodique,
puisque i 9 1 est aussi isocinétique avec $, l’angle 0 est aussi isocinétique
avec l’angle #.
(34)
sin* 2 = V + 2 j(( 0 ) cos (v — iVjj + ((O) 2 ,
(35)
sin i sin (© —— ) == I sin G -f- ((0) sin (v #j),
sin i cos (0 — = Icos G -f ((C)) cos (v —
d’où il s’ensuit que les deux arguments 0 et sont isocinétiques. Mais