Première Partie. Livre I.
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Maintenant, si nous faisons la constante A, qui est encore à notre dis
position, égale à A n que nous intégrions et que nous égalions la constante
d'intégration à zéro, c’est-à-dire, la constante b à b l , notre résultat sera:
M
0 — « 3 sin L 2 — l - al sin 2 L. t -f- J-«2 sin 3 L a
formule en pleine concordance avec celle qu'on aurait pu tirer immédiate
ment de l’équation (12) du chap. I.
Passons au deuxième cas. Puisque maintenant oq est plus grand que
l'unité, nous mettons:
«„ -f cos L..
i -1 cos L
i a.
I -f 2a, cos L. -fa la., 2 _ I
2 2 2 I + — cos ZL + —
= — i cos L <t -I—- cos 2 L„
, • clO
Avec ce développement, nous aurons, en vertu de l’expression de la
suivante:
~ = A, — A + (A — A.) j 1 — — cos L + ~ cos 2A — ... j.
dv 1 w a 2 1 a-i *
Delà, il est visible qu’on doit mettre A — A 3 , afin que la fonction 0 ne
contienne que des ternies périodiques.
Puis, en intégrant, nous aurons un résultat que nous écrivons, eu égard
à l’équation (12) (chap. I), de la manière suivante:
(b)
6 = b. — b -j- const. sin L -f- —-¿sin 2 j L — . . .
2 ai
1 j
Maintenant, si nous faisons la constante d’intégration égale à ¿q — b
et que nous égalions b à Zq, nous aurons la fonction d dépourvue de tout
terme constant.
Donc, s’il s’agit de mettre l’agrégat périodique
A = a x cos (Aj v + b x ) + a 3 cos(A 2 v -f Zq)