Première Partie. Livre II.
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a G , F , . . . mais appartenant à la seconde planète: alors, il sera facile
d’établir l’équation que voici:
a + = (i — c)(b«r + n'T) — nT + x +
ou bien la suivante:
(2) G + ж — л = ^ (G' + -■ — A)
Pour abréger l’écriture de nos formules, nous admettons les notations:
(З)
Ъ= 9 {Г-Л)-{Г-А'У,
, I 1 — s
<p =--
/< I “ s
L' = <p\r - A) - (Г— / 1 ),
U = (i-ç ')[ß(»T-X)-(n'T-X'y, U' = (i-ç) -(n’T—X)-(nT-X)
Г
V = (p[v — w) -f- L; V' = <p’{v' — œ') -f- L',
notations qui entraînent les relations
’ <p<p’ — 1 ;
(4) < L = — <pL’\ L' = — (f'ij ,
U = — ^U'; U' = — $VU.
Avec ces notations, l’équation (2) s’écrit de la manière suivante:
(5) . G + TT — A — <p\ G' + tt'~ A 1 ) + ü',
d’où l’on tire, en la multipliant par p et en ayant égard aux relations (4):
(5') G' + я' — A' = f>(G + 7Г — Л) + U.
Des résultats obtenus, on déduit facilement quelques autres, non moins
symétriques. En effet, puisqu’on a:
G + sr — /1 = G + гг — /’ + (/'— Л)
= G + 7Г— /’ + р\Г — A’) — IV,