Première Partie. Livre II.
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n — r
n
X Ç.X.TI stp,r—11
4 ~' i n '-'r—n
n = 0
( 28 )
P ( -A.« s<p,i—n ! A .n ç.stp^—n 1
c r.l ^ ‘■'r-j-2 — n I & n + 2 w r—n J
P 'y' / A.» s«,r—n I A .n s<f,r—n . A .n c sy.r—
e r.2 l*« —n "l fc « + 2 fc r + 2—n I t '» + 4 w r— n J
nous parvenons à exprimer la fonction D au moyen de la formule suivante
( 29 ) D? ) (^ , ï ÿ) = (— i) r Y) ,s 7 ] r e~ sf( 7 r '- r ')-rf ( ^-r)
x ¡e s e, 0 — + ..•)•
Ainsi, on a établi le développement de la fonction e mU suivant les
multiples de Y et de v — w , mais on parvient à ce même résultat d'une
autre voie, que je vais indiquer rapidement.
En partant de l’équation (24), on écrira immédiatement celle-ci:
= {*?>(*) + T»( v )e<* + TÎW** + ...
+ Y%rj)e- № + r%)e- 2iF +..,j
X ( + Y ( ?\r J ’)e i V- r) - i «-' u ' ) + ...
et si l’on y introduit les valeurs des différents e mv ~ w) selon lequation (19'),
on tombera sur l’expression suivante de la fonction E s :
E, = j Yt\ rj ) + n\ v )e № + ...
+ U«(,)<r‘ F + ...]
X \ {■>!’)+ . . .
+ Y t “\( 7 )')e-'«- n IJ Ua + +...);
Traité des orbites absolues.
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