Full text: Théorie générale des orbites absolues (Tome 1)

16 
Traité des Orbites des Planètes. 
les courbes de M. Poincaré, de la propriété d’avoir une infinité de points 
d’intersection. Cherchons à les déterminer. # 
Dans ce but, concevons deux points de la courbe dont les longitudes 
diffèrent, l’une de l’autre, d’un nombre entier de circonférences. En dé 
signant ces longitudes par v kl et v lk , k et l étant deux entiers quelconques 
dont la différence sera d , de sorte qu’on ait: 
k — l =d, 
et par V ld , la valeur de v k l ou de v l k qui subsistent lorsque k ou l est 
égal à zéro, on aura: 
v kJ = 2k?r -fi V Ld ; v uk = 2ÏTT + V Ld . 
Puis, pour établir l’égalité entre les rayons vecteurs appartenant aux longi 
tudes signalées, ce qui est nécessaire pour déterminer un point d’intersection, 
il faut qu’on ait: 
(i — ç)v k l — F = 2 llTT + (i — ç)v Lk ± F, 
h étant une troisième entière prise à volonté. 
Par les relations établies, on obtient: 
TT J J T 
2 (k±l)T+(l + l)V, d (i + = — , 
d’où il est immédiatement visible qu’il faut prendre les signes supérieurs. 
Cela posé, nous aurons: 
Avec cette valeur, il sera facile d’arriver aux expressions: 
(i — ç)v kA — F= [h + d( i —ç)]tt, 
(i — cK* — = \h — d( i — c)]tt; 
donc, si l’on admet h égal à k + /, il viendra:
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.