Première Partie. Livre III.
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Eu introduisant la première de ces valeurs dans l’équation ( 37 ), il
résultera :
formule qui nous deviendra très utile dans la suite.
Concevons maintenant un terme isolé de 12 , savoir:
22 = a(^) s cos(nv — A),
où a et A ont la signification de certaines fonctions du temps, ne renfer
mant pas, toutefois, (/>), ni v. En différentiant ce terme, il viendra:
L = sa (<°)-' cos ( nv — A ); = — na(,o) n sin (nv — A),
et ensuite:
D v 22 = D T G°) = — sa^ s cos F 3--1 sin F cos (nv — A)
— na^ s cosF 3 sin (nv — A).
Mais puisque la fonction cosF 3 s’exprime par le développement fini
(39) J ) v 22 = — a3y s Xa s _ 2l/ {(s — 2y) sin (s — 2y)F cos(nv — A)
+ n cos (s — 2y)F sin (nv A)},
d’où l’on conclut que la dérivée I) v 22 ne renferme aucun terme dont l’argu-
cosF 8 — Sa s _ 2v cos (s — 2y)F,
les a étant des coefficients rationnels, an aura aussi:
Avec ces deux expressions, on tire de l’équation précédente le résultat que
voici :
ment soit exempt de l’angle v multiplié par un nombre entier. En effet,
un tel terme ne pourrait naître que si l’entier s — 2y était égal à n,