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Traité des Orbites des Planètes.
Dcornutus. Sie wussten einen Gfegner dadurch in die Enge zu treiben, dass
»sie alles hersagten, wo er sich hinwenden konnte, und ihm dann auch alles
»widerlegten. Sie zeigten ihm viele Schwierigkeiten bei jeder Meinung, die
»er annahm. — Aber es ist ein sophistischer Kunstgriff, Sätze nicht geradezu
»zu widerlegen, sondern nur Schwierigkeiten zu zeigen ; welches denn auch
»bei vielen, ja bei den mehresten Dingen angeht.»
»Wenn wir nun alles das sogleich für falsch erklären wollen, wobei
»sich Schwierigkeiten finden, so ist es ein leichtes Spiel, alles zu verwerfen.
»— Zwar ist es gut, die Unmöglichkeit des Gregentheils zu zeigen; allein
»hierin liegt doch etwas Täuschendes, wofern man die Unbegreiflichkeit
»des Gregentheils für die Unmöglichkeit desselben hält. — Die Dilem-
»mata haben daher vieles Verfängliche an sich, ob sie gleich richtig schlies-
»sen. Sie können gebraucht werden, wahre Sätze zu vertheidigen, aber
»auch wahre Sätze anzugreifen, durch Schwierigkeiten, die man gegen sie
»auf wirft.» 1
En résumé:
Dire que Vadmission de l'hypothèse mentionnée implique un cercle vicieux ,
c'est prétendre ou que cette hypothèse entraîne avec nécessité la convergence
des développements ou bien que les développements sont toujours divergentes.
Pour montrer comment des solutions stables également que des solu
tions instables pourront ressortir de conditions peu différentes, les unes
des autres, je me permets de renvoyer le lecteur au n° 2 du § 1 de mon
mémoire nouvelles recherches etc. On conclut par là que le problème de
la stabilité de notre système planétaire n’est pas seulement une question
d’analyse, mais aussi une question de calcul numérique.
Après cette digression sur la portée logique de nos suppositions, nous
allons désigner par r’ le plus grand des deux rayons vecteurs et par r, le
plus petit. Mais nous ne prétendons pas, dès le début, que les développe
ments qu’on va effectuer en vertu de l’hypothèse
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- < 1
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Kant, Werke, ed. Hartenstein. VIII, p. 127.