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Traité des Orbites des Planètes. 
B' par les P , Q , R, dont nous supposons les développements déjà établis. 
On y parvient facilement en utilisant les identités 
/¿гг* (c) 
(c) /¿irV’ 
à l’aide desquelles la troisième des équations (35') nous donne celle-ci: 
(36) 
Avec le résultat obtenu, il sera facile de tirer, des deux premières des 
équations (35"), les suivantes 
d’où Гоп déduit, par un calcul assez simple, que je passe cependant sous 
silence, les expressions en P et en Q. Ce sont, en effet, les expressions 
en R qui se prêtent le mieux aux développements dont il est question 
maintenant. 
90. Mais on parviendra, d’une voie encore plus facile, aux résultats 
demandés. 
En ne considérant d’abord que la partie principale de la fonction 
perturbatrice, c’est-à-dire la partie qui s’annule avec , on exprimera les 
trois fonctions définies par les équations (35) moyennant des formules tout 
à fait semblables à celles qui ont servi à établir les expressions de P , Q 
et R. Or, en supprimant les seconds parties des fonctions il et il', on 
aura la relation 
№ 
-% Q, 
a fit 
qui, du reste, n’est autre chose que l’équation (56) du n° 72, si l’on en