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Traité des Orbites des Planètes.
d’où l’on tire, comme auparavant,
n _1, ° K 2 >
( 23— ) ^(i —^ 2 )ry(P (0) ) = ¡B(i,o,o,o,o) 0|0 *
+ (B( 3 , 0 , 1 , 0 ,o) 0 ) 0 —B(i, 0 , 0 , 0 ,o) 1>0 )
/(2) (2) \ J
+ \B( 1 , 2 , 0 , I ,o ) 0)0 + B( I ,O,O,O,o) 0> J 7J7)' 2 ) COS P
( 2 )
+ B( 2 , 1 , 0 , 0 , Oo.o'ÿV C0S ( 2 P — P'—(V — V')),
n ~~ 1,0 ((2)
( 2 4 ) | Zv(Q (0) )= —¡A(i,o,o,o,o) 0>0 oy
r
/(2) (2) \ 1
+ U(i ,2,0,1 ,o) 0>0 + A(i,0,0,0,o) 0)1 J YjY ]' 2 jsin F
(2)
— A(2,1,0,0, Oo^y sin (2F—-F' —(v —v')).
En opérant de la manière que je vais indiquer, les quatre formules
(23), (24), (23—), (24—) se réduisent à la forme fondamentale, ou plutôt
à une forme qu’on peut appeler forme fondamentale généralisée.
Nous connaissons déjà les valeurs
(a) V cos F = p\ 57 sin F = —^— (A), 1
p étant placé au lieu de (/3); il s’ensuit immédiatement un résultat de la
forme
(0
2 2 1
*1 = P +
-î- (/*)•
L’expression de [p.) étant celle-ci: