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Traité des Orbites des Planètes.
Pour y arriver, nous observons la relation
V — v„
G,
ainsi que celle-ci:
dû dû
dv dV n
en vertu (lesquelles la formule (3) se change en la suivante:
(3')
L
dû , dûdr . 7
t— )av n +
av„ 1 dr dv. 1 n r
/ d\Jc fdy
I dt \dv 0
+
dG
dv n
dv 0 .
D’ailleurs, les valeurs
£ = r cos(v 0 + x + @)\ rj = r sin (v 0 + y + #)>
= eos(v 0 + * + -- jj(i + ^- + ||),
dv n
drj
dv„
sin (V 0 + Z + °)^T_ + i(' + %_ + ^
donnent sur-le-champ, si l’on considère les équations (11') du n° 66, ainsi
que l’équation (4) du chapitre précédent, l’expression signalée de l’inté
grale L.
Maintenant, si l’on forme le produit des expressions
dû _ (c) dû
dr pr* dp ’
dr pr * 2 dp r d(c)
dv 0 (ri d \ 0 (c) dv 0
on obtiendra:
dÛ dr dû dp I dû d (c)
dr dv 0 dp dv 0 pr dp dv 0
Ensuite, si l’on reprend l’équation (38) du n° 70, et qu’on y mette v 0
au lieu de v, ce qui est permis parce qu’on doit, en même temps, con
sidérer p et (A) comme fonctions de v 0 , et non plus comme fonctions de
v, on parviendra à la relation
dû dû dp
^ û '
dû idR