Première Partie. Livre I.
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Si l’on supposait que les fonctions y 1 et y 2 fussent des quantités de l’ordre
zéro, et, que 0 et W ne continussent que des termes sousélémentaires du
type (^1) et du premier ordre, on conclurait facilement de l’équation ob
tenue que son second membre fût une quantité du deuxième ordre. Or,
puisque nous considérons R comme un agrégat de termes sousélémentaires
du type (R) et du premier ordre, il faut que /1 soit aussi un pareil agrégat
du premier ordre.
Donc, de deux choses, l’une : la fonction X peut être égalée à zéro, il est
vrai, mais seulement à condition que les fonctions 0 et W renferment des
termes d’un autre genre que ceux du type (^ 4 ); de l’autre côté, on peut faire
contenir aux fonctions 0 et Y 1 ’, ou, ce qui revient au même, aux fonctions g et
h exclusivement des termes du type ( A ), mais dans ce but, il faut, qu’on ait:
(28), 011 peut exprimer les différentielles de g et h au moyen de la fonction
R. On obtiendra de la sorte:
On tire de là:
valeur qui, évidemment, est différente de zéro.
Si l'on introduit les expressions obtenues de X et de — dans les formules
dg 1 d J
dv 2 dv I
/(
dh 1 cZ j
dv 2 dv I y 1
/(
o u bien :
(32)
ß
f(
ST» + y
Traité des orbites absolues.
G