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Traité des Orbites des Planètes.
(b')
+ ppl + ÏTl = °>
**2 + AA + ÏÏ2 = °>
a i« 2 + AA + n Ta = o,
on déduit immédiatement des équations (i) les équations réciproques:
' ç = ax 4 - «!?/ + a 2 £,
(O) ■ ^ = A^ 4“ /?,?/ 4-
. <f = pæ 4 - p, y 4 - r,z.
Je rappelle encore les relations suivantes, aussi bien connues, mais
qui, du reste, découlent facilement des équations déjà mentionnées,
(c)
(O
a =plh — An>
«1 = P,r — Pr 2 >
^=--Pïx —Pxï,
P = «an — a iT*>
A = «r 2 — «2r ,
A = «i 7 * — a n >
r = «,A — a aA>
Pi = cq /9 — a/ 3 2 ,
Ï2 = «A — «./ 5 •
Conformément à la supposition que le plan instantané soit déterminé
moyennant les positions de deux rayons vecteurs infiniment voisins, il faut,
tant que la trajectoire est une courbe à double courbure, considérer les
neuf coefficients a , /3 , p , oq , ... comme fonctions du temps t, fonctions
que nous admettons, du reste, être réelles et continues.