G 8
Traité des Orbites des Planètes.
on
a 3 == — sin i sin 0,
y 9 2 = sin i cos G,
. i , 2
7 <i — i — 2 sm - % .
Il pourrait être utile d’avoir les relations entre les a , ¡3 , y , oq , . . .
d’un côté et les a , b , c , a x . de l’autre: on les trouve aisément, en
introduisant, dans les formules (d), (d') et (d"),
a = —- // ;
il résultera ainsi:
a — a cos g + b sin g ,
¡3 = b cos g — a sin #,
T — c,
a, = a l cos g -j- b x sin ¿7,
A = A cos# — a l sin #,
Ti = c
1 >
A
ou réciproquement:
a = a cos # — sin g ,
b = ¡3 cos g -j- a sin g ,
c = r
etc.
= a 2 cos# -j- /q sin#,
= b., cos # — « 2 sin g ,
22. Par les relations que nous venons d’établir, on est parvenu à
exprimer les neuf coefficients a, [ 3 , . . . moyennant deux inconnues 0 et i,
tandis qu’ils en dépendaient primitivement de trois. En revanche, la fonc
tion #, qui lie les deux systèmes de coefficients, paraît constituée de deux