72 Traité des Orbites des Planètes.
Etablissons d’abord, les formules
I I cos (fi — 0) = t -f C (i s r s — t 0 — 8 Mv),
( 4 8 )
| I sin (fi — 0) = — S (i s z s — r 0 — V
et nous aurons:
(49) 5 = I sin ((1 -f t)v — fi).
Puis, en différentiant cette équation, nous aurons un résultat de la forme
(50) ¿ = /cos((i + T)V — fi) + (C),
\
(C) étant une fonction de la même nature que la fonction (À), introduite
dans le n° 13.
Maintenant, si nous introduisons, dans les équations (46), les ex
pressions obtenues, nous parviendrons aux résultats que voici:
sin i sin (v — 9 — G) — I sin ((1 + t)v — fi),
sin i cos (v — 9 — G) — 1 cos ((1 + t)v — fi) 4- ((O),
s
ou l’on a admis la notation
( 52 ) ((O) = + ( 7 ^— l ) J C0S ((I + T)v — fi).
Des équations (51), on déduit facilement l’expression suivante
(53) COS i = \j I P 2 (( 0)1 COS ((I + T)v — fi) — {{O)' 2 ,
formule, en vertu de laquelle la première des équations (19) se transforme
en celle-ci:
= y/ 1 — P — 2 ( ( Ç ) ) 7 cos (( 1 + T)v— fi)-((C)) lt
I — P sin ((I + z))v — fi ) 2
+ g)dv.
Moyennant les deux formules (53) et (54), on parvient à déterminer
les deux fonctions cos à et l en termes connus, toutefois la très petite
quantité g , dont on trouve d’ailleurs facilement une valeur approchée, est