1137
ar Verhoef (1984 [17])
.lement utilisé ici pour
ans le domaine solaire
ature de brillance (les
ement PAR au sein du
Iculs nécessitent la con-
iol (p 4 ), de paramètres
sons foliaires), de car-
ed), et de la géométrie
( 6 )
Ut (7)
le végétation, u t et fu
;nts de transmission et
fission du rayonnement
le domaine solaire. Les
flaire des absorptances
[L), et des réflectances
s rayonnements solaires
i réflectance du sol avec
sont calculés au moyen
s (p; = 1 — fl, T) = 0 et
ion est calculée comme
( 8 )
dans la bande spectrale
:ctionnalité de la visée.
:rant des rayonnements
(9)
( 10 )
(H)
( 12 )
(13)
(14)
L la chaleur latente de
résentent la température
du couvert, v la surface
liés à la structure de la
ir calcul est basé sur la
uche de rugosité (Cellier
e la longueur de rugosité
•]:
(15)
pour 0 < Cd LAI < 0,2. Pour 0,2 < Cd LAI < 2 :
¿от = 0,3г л (1- — ) (16)
Zh
(го, est la longueur de rugosité du sol nu, Cd le coefficient de traînée des feuilles, et Zh la hauteur du couvert)
d = z h [\n (l + (Cd LAI) 1 ' 6 ) + 0,031n(l + (C d LA/) 6 )] (17)
La longueur de rugosité thermique гол est calculée à partir des résultats de Brunet, Paw U et Prévôt (1991) [1]
par :
¿oh = zom exp ^fc(l, 1 LAI — 6,1)^ (18)
pour un LAI < 4. Au dessus de LAI = 4, zoh/zom est considéré constant (~ 0,5). к est la constante de von
Karman.
2.3 Flux de chaleur dans le sol
Le flux de chaleur dans le sol est calculé classiquement à partir de l’équation de Fourrier et de l’équation de
la chaleur, et d’une température en profondeur.
2.4 Transferts hydriques et photosynthèse
Les bilans d’énergie sol et végétation sont fermés par l’introduction de conductances de “surface” g v et g,
telles que :
LE V = pL g v (ql(T v ) — q v ) (19)
LE, = pL g, (q:(T,)-q.) (20)
La conductance de la végétation g v , considérée comme la somme des conductances de feuilles, est calculée
par intégration des conductances stomatiques sur l’ensemble du couvert :
/■LAI
9v - l gi(Qi,iPi,Ti, D'o)dL (21)
J о
où gi dépend de l’éclairement PAR reçu par la feuille (Qi), du potentiel hydrique foliaire (tpi), de la température
des feuilles (7)) et du déficit de saturation à la surface des feuilles ( D' 0 = e*(T„) — e v ). gi est exprimée selon
Jones (1983) [10] :
9l = 9lmin + (ÿlmor — 9lmin) 9g(Ql) 9g(^l) Si(7/) g g (D' 0 ) (22)
avec 9imax et gimin les conductances minimale et maximale, et chaque g g une fonction variant entre 0 et 1.
Le calcul considère que ces fonctions sont identiques en tous points du couvert, et que tpi, Tt et D' a restent
également constants. Les transferts radiatifs permettent le calcul de la réponse à l’éclairement en fonction de
l’orientation des feuilles, de leur profondeur dans le couvert et de leur ombrage.
La conductance de surface du sol g, est exprimée en fonction de l’humidité du sol dans les 5 premiers
centimètres 0 O _ 5 à partir des résultats de Chanzy (1991) [4] :
g, = [l, 439.10 5 (0,35 - flo-s) 3 ’ 14 ] (23)
Les transferts hydriques entre le sol et les feuilles, siège de la transpiration, sont décrits par l’équation de
van den Honert (1948) [16], qui exprime la transpiration en fonction du gradient de potentiel entre le sol et les
feuilles (tp, — tpi ) et d’une conductance hydraulique (G p ) :
LE V = G p (tP, - tPx) (24)
La photosynthèse est déterminée indépendamment des transferts hydriques et du fonctionnement stomatique,
en fonction du potentiel hydrique foliaire, de la température, du déficit de saturation et de l’éclairement PAR,
à partir d’un modèle foliaire de même type que pour la conductance stomatique. Le calcul de la photosynthèse
du couvert suit le même principe que celui de la conductance de surface de la végétation.