CHAPITRE VI.
9 2
ments i et ô, et aussi de a qui sera constant, puisque il ne contient pas la lon
gitude moyenne /. On trouvera ainsi
( 8 )
en faisant
( 9 )
Î2 K cos 2 y -t- K' cos 2 y',
„ 3 ni a 2
Iv = 7=: 2
(i-eiy
K '= ^^§-^2
B (,) est défini par l’équation
acij(a l a 2 — 2 aaj cos^) 2 = - B (0 >h- B (1 > cos^ 1 + B (2 > cos2<f/ +
En faisant
a sera toujours < i, et Ton aura
Clj
Cf = —;
a
d’où
(xo)
B“) = - b
(i)
K'=-^ + — fy
ici* 8 a J ¿d
m { j ) a b
(i >.
le signe ^ s’étend à tous les satellites intérieurs.
On aura ensuite, en appliquant aux équations (i) la méthode de la variation
des constantes arbitraires et négligeante 2 ,
dQ f dQ di i dQ
dt na* sin« di’ dt ~~ na? sin i ~dQ
C’est de ces équations que l’on conclura les inégalités séculaires de i et de 6,
après avoir remplacé il par son expression (8), et y et y' par leurs valeurs en
fonction de i et de 0.
J’ai montré (Annales de TObservatoire de Toulouse, t. I) que l’on peut trouver
aisément l’équation de la courbe décrite sur la sphère céleste par le pôle de l’or
bite, sans effectuer l’intégration complète des équations (ii). On en tire, en
effet,
di 1 dQ dQ di
dt dQ dt + di dt °’