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rire,
THEORIE DES SATELLITES DE SATURNE. 97
On voit que l’on est ramené à des intégrales elliptiques, et les formules (19)
et (20) donneront, en désignant par ¿ 0 une constante arbitraire,
(23)
p. = am (H¿ 0 — Hi),
sinp C 0 S 9 = sinp' sinp.,
sin p sin 9 = sin p" cos fx.
Le module A est voisin de zéro ; il convient de procéder à des développements
en séries, en négligeant AL On trouve successivement
dp. ^14- “ é 2 sin 2 p^j = dp. ^ 1+ ^ A 2 — ^ A 2 cosip.'j = — H dt,
A 2
P-= H'(*„ — t) 4- — sin2 H'(¿0 — t),
U
11 =
1 4-
A 2
ie et
„ . „ 1 — 7 A 2 sin 2 H'(£ 0 — t)
si no" , sinp" 4
lan S? = iïïTt? COlfl= ÏTno' I CO- <),
P P I -+- 7 A ! COS ! H'(i 0 — t)
tang9 = (1 — il) cotH'(£ 0 — t),
. sinp'—sinp" A 2
2sinp' + 8 3
/estune petite quantité de l’ordre de A 2 . En posant
9 = 9 °° — H'Oo— t) — £,
£ — l sin 2II'(¿Q — t);
<P1 — 9°°— HO 0 ,
on trouve aisément
soit encore
il viendra
( 24 )
9 = 9j 4- H'i — l sin ( 2 9 t 4- 2H ' t).
La valeur de 9, se déterminera au moyen de la valeur 9 0 que prend 9 pour
t = o, par la formule
90 = 9 t — l sin 29 ! ;
91 = 90 -+- / sin 29 0 .
On a ensuite par l’équation de l’ellipse,
sinp' sinp"
sinp
v/sin 2 p" 4- (sin 2 p' — sin 2 p") sin 2 9
T. — IV.
sin p'
sin 2 p'—sin 2 p" .
H * « »—— sin 2 (9, 4- IVt)
sin 2 p"
r 3