Full text: Théories des satellites de Jupiter et de Saturne. Pertubations des petites planètes (t. 4)

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d’où 
CHAPITRE VÏ 1 T. 
i ¿W 2 
2 /i 2 ¿/¿ 2 
v dW 3 
—J —7 h ... — cos W h- const., 
O /1* clr 
¿AV 2 / 2 s dW 
dP \ 3 /¿ 2 <:/£ 
= 2 /¿ 2 ( COS W -H C). 
On a, d’après (4), cette valeur approchée 
— =i2«y 2 ; 
s 
d’où 
2 s dW „ dW AW 
3 Jd ~di Wdï~ 
Or, l’observation montre qu’en un an AW n’est que d’un petit nombre de de 
grés, 3°, tandis que nAl = i39500; on aurait donc 
2 s dW 270 _ 1 
3 /¿ 2 dt i3g5oo 520’ 
ce qui est assez petit. On peut donc se borner à 
dW 2 
(5) ^ r = 2A 2 (cosW + C), 
ce qui est l’équation d’un mouvement pendulaire. 
Le tout est de savoir si ce mouvement est révolutif ou oscillatoire, ce qui ar 
rivera selon que l’on aura 
C 2 > 1 ou C 2 <j. 
M. H. Struve a tiré de ses propres observations et de celles de Washington 
les valeurs suivantes : 
1. 0. v. 6 '. 
O 0 0 O 
1876, octobre o,o 128,9 3 o 8 229,9 286 
1888, avril 0,0 337,i 64 161,7 184,1 
1889, avril 0,0 87,4 59 286,1 110,8 
d’où il a conclu ces valeurs de W = l\l' — 2/ — 0 — G', 
-t- 68 °, -+- 84 °, + 8 o°. 
Il dit qu’il en résulte que, durantces treize années, W a atteint un maximum, 
ou n’a éprouvé que de très petites variations, ce qui exige que le mouvement 
soit oscillatoire, et C 2 < 1.
	        
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