THÉORIE DES SATELLITES DE SATURNE.
i3 7
on en conclura
T =
36 o°
, 2 K
h — — a,
71
H -
m a
m' a
i + q
Il =
i -+-
m a' m' a i -+- q
H' i ni a!
H 2 m’ a
La dernière formule donnera —et Tune des deux précédentes donnera
d’où G's’en déduit par la théorie des fonctions elliptiques, puis
h== ~ a.; après quoi la formule (n) fera connaître m'.
58. M. H. Struve a discuté l’ensemble des observations de Mimas etdeTéthys,
faites depuis W. Herschel jusqu’à nos jours.
Le problème qui se présente est le suivant :
Représenter toutes les longitudes observées de Mimas par la formule
( 1 4 ) l — \ + nt — Hsina(£— t 0 ),
dans laquelle X, n, H, a et t 0 sont des constantes inconnues.
De même, les longitudes observées de Téthys doivent être représentées par
l’expression
(i 5 ) 1 '— V + n’t + H' sina(¿—¿ 0 ).
C’est un problème assez épineux, et le matériel dont on dispose est à peine
suffisant. Donnons quelques indications sur la solution provisoire obtenue par
M. H. Struve. 11 a donné les valeurs isolées de X calculées par la formule
— L — nt,
en prenant pour/z deux valeurs très voisines, comprenant sans doute entre elles
la véritable; il a calculé de même les valeurs de V. Ces valeurs de X et de X'
devraient être constantes si la libration n’existait pas, donc si H et H'étaient
nuis. Les Tableaux ainsi obtenus montrent que, vers i85o, ont lieu un maximum
de \ = l — m et un minimum de X' = l — n!t. C’est l’inverse qui a lieu vers
1885. L’intervalle est de trente-cinq ans et doit être à peu près égal à la demi-
période. M. H. Struve adopte finalement
t 0 — i 866 , 5 , T = 68 ans,
m i , i i
—-. = —■> m' — — > m — —=
m io 767000 x1000000
T. - IV.