LES SATELLITES DE NEPTUNE, DE MARS ET ü’üRANUS. j /|5
n’intervient pas ici; ce qui agit, c’est le ménisque équatorial. On voit d’ailleurs
que les équations (5) restent les mêmes si l’on change
0', cf' et cosC en i 8 o°h-ô', i8o° — — cosC.
Nous pouvons donc supposer p > o. Puisque ^ est < o dans l’intervalle des
observations, on doit avoir
d’où
sin(ô / — 9 0 ) > o, sin(0' — 6 2 ) > o;
i84°,i < 9' < 36o°,4-
Mais on a vu plus haut que cosC est < o, quand 0' dépasse 293°,9; il en ré
sulte
(10)
i84°, 1 < 6 ' < 293°, 9.
J’ai fait une série de calculs numériques, en attribuant à 0' des valeurs équi
distantes, comprises entre les limites (10). On voit par la formule (a') que 9'
augmente jusqu’à 137 0 pour diminuer ensuite, et il est facile de démontrer, à
l’aide des formules (a) et (b), que, dans le même intervalle, C croît constam
ment. J’ai déterminé les valeurs de 9' et de C par les formules (a) et ( b ), et
celles de ~ ~ et ~ d ~, pour les époques /„, t { et t. 2 , par les formules (5); f d0
dt
et ( ~dt) re P r ésentent les moyennes arithmétiques des trois valeurs de ~ et ^
J’ai ainsi obtenu le Tableau suivant :
] / d<{
P \ dt ) 0
L / ¿ftp \
P \ dt J 1
ç> \ dt J,
P
1 / dC)
P \ dt ) 0
1 /î/0
p \dt
I ( ( JÏ
P \ dt ,
dv£
dt
/¿0\ . /^\
\ dt ) 2 ' \dt / (
t _ ]v
1 9°) 3
195°, 3
200,3
2o5,3
210,3
2i5,3
220,3
126,7
129,1
131,0
1 32,6
134,0
13 5,1
1 35,9
7 1 1
12,1
16,4
20,5
24,4
28,2
31,7
0,174
0,259
0,342
0,423
0,5oo
0,574
o,643
o,i3g
0,225
°,3o9
0,391
0,470
o,545
0,616
OC
C
0
°> '94
0,279
0,362
0,441
o,5i8
0,591
LO
*0
0
0
0,1 32
0,209
0,284
0,356
0,426
0,494
0,121
o, 195
0,268
0,339
0,407
0,472
0,534
0,164
0,236
o,3o6
0,374
0,439
o,5oi
0,559
I ,23
1,21
1,18
1,18
1 7 1 7
1 , '7
1 ,f7
3,0
1,8
i,5
1,3
1,2
1,2
• , '