CHAPITRE X.
I 54
En opérant de même la substitution
/ a b c cl e f\
\d e c f b g J
la formule (2) donnera
I x — 1) H- (x — d) (d, e) + (x — d) {x — e) [c, d, e]
| + {oc — d){x — e)(x — c)[c, d, e,f]
i + (.r — d) (x — e) {x — c) (x —f) \ b, c, d, e ,/]
+ {x — d) (x — e) (x c) ( x—f ) {x — b)[b, c, d, *?,/, g] + ....
Ici, les quantités [r/, c], [c, r/,c], ... figurent, dans le Tableau (5), sur deux
lignes horizontales, menées, l’une par la lettre D, l’autre à égale distance des
lettres D et E.
G6. Dans les calculs astronomiques, on suppose toujours que les quantités
a , b, c, ... sont les divers termes d’une progression arithmétique.
Soit a la raison de cette progression, de sorte que
b — a — C — « ;
pour nous conformer à l'usage généralement adopté, nous poserons
Arr f{a), B —f{a -h «), C =/(« + î-u), ....
Retranchons chacune de ces quantités de la suivante et faisons
+ i + 1 w) —f{a + îm) = f l (a + {+ J w) !
les /■ seront les différences premières ; on a mis l’argument symbolique a-+- î +
pour rappeler que cette différence est obtenue avec les deux valeurs de la fonc
tion qui correspondent aux valeurs a -h i 4- 1 to et a -+- i co de x, dont la moyenne
est« d-1 - h-w. On calcule de même les différences secondes, troisièmes, etc.
par les relations générales
/' (a- f- î -f- |w) —f l (a H- i — |co) = f-{a 4- tu),
p(a + ¡+1 r »>) — /■*(« + /*>) =f 3 (a + j + |w),