PERTURBATIONS DU MOUVEMENT DES COMÈTES.
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pÀ 2 est donc au moins égal à 12. Tl faut que le dénominateur de l’expression
(27) de S ne soit pas trop grand ; sin 2 H 0 doit donc être petit.
En résolvant les équations (3o) par rapport à sin<p 0 et cos<p 0 , on trouve
1 sin <p 0 = — (/cos g' — 1 ) cosIIq — /sin g' sin II 0 ,
~h cos <p 0 — — / sin a' cosIIq 4 - (/ cos a' — 1) sinll 0 ,
ou bien, ces expressions approchées, en remplaçant eosH 0 par — 1,
( 33 )
( >isin 9 0 =r / coscr' — 1 — / sin g' sinH 0 ,
I Xcos<p 0 = /sin g' 4 -(/coscr'— i) sinH (
J,a formule (27) donnera ensuite, en gardant sin 2 H 0 seulement dans les
termes multipliés par p,
S — \
On est amené à poser
(34)
et il en résulte
1 — [ 3 À 2 sin 2 II 0 ) sin<p 0 + ¡ 3 A 2 sin Ii 0 cos© 0
1 + [ 3 2 ^ ( 1 - gp ) sin 2 ll (1
V 1
u = P**V/ ' — pi sillII c
(i + h 2 )S = /cos <7'— I 4 - «/sin O-'
[3X 2
v/ 1 $1*
ou plus simplement, d’après ce que l’on a dit de la grandeur de pX 2 ,
( 35 )
/ cos g' — I 4 - «/sin g'
I 4 - LL-
Cette expression très simple donne S, et par suite a t en fonction des deux
paramètres indépendants a' et 11. Si l’on fait o - ' = o, u = o, on trouve
S = / — 1 =: ^2 — 1 ;
c’est la solution que nous avons recherchée plus haut (page 208). On a
( 36 ) E =
ce qui donne une représentation de u. Il est facile de voir comment varie S. On
a d’abord, quand ex' varie, le maximum
^ /y/1 4~ ~ïï“ — I
pour tango-':= u.