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CHAPITRE Kill.
grandes valeurs de p et de q, on aurait très sensiblement o- = t , et, en vertu de
la formule (14)*
En remarquant que, approximativement, y] = 'Ç = cos 2 M. Kadau trouve
l’expression très approchée
On voit donc que, au point de vue de la représentation des observations, on ne
gagnera rien à augmenter les valeurs de p et de q.
96. Voyons maintenant ce que les observations de la comète d’Ëncke nous
ont appris au sujet du milieu résistant. Les calculs de V. Asten sur les appari
tions de la comète entre les années 1819 et 1865 ont montré qu’en une révolu
tion le moyen mouvement diurne et l’angle <p dont le sinus = e éprouvent les
variations suivantes ( 4 ) :
sa valeur, soit de ±0,089. O n pourrait donc avoir des valeurs comprises entre
1,01 et 0,98. L’examen des valeurs de H yv/ données à la page 223 montre que les
valeurs de p et de q restent presque arbitraires. La valeur absolue de iïn ne
donne rien, si ce n’est la grandeur du coefficient h.
De i865 à 1871, V. Asten a trouvé que l’accélération du moyen mouvement
est sensiblement nulle; les nouveaux calculs de M. Backlund donneraient,
durant cette période,
II
= 0,925 +
0,081
2 i e p -h 2 y — 4
P + 2 q — 4
èn = 4- o ", t o44,
On a d’ailleurs
n = 1070", ç> = 67° 49L
L’équation (11) donnera donc
n ÒO sili I "
d'après l’erreur probable de ocp, on doit s’attendre à voir varier W p q de ± ^ de
o", 06 -< ôn ■< o", I .
O) Il résulte de là, au bout du temps t, t étant exprimé en jours, l’inégalité
—t- - o", I O Î 4 x 1200 X
1200
dans la longitude de la comète.