THÉORIE DES SATELLITES DE JUPITER. 4 1
-M. Souillart avait trouvé d’abord par sa théorie complète, en considérant les
termes auxquels nous avons eu égard autrement, les coefficients
156 r ", — З7З7", 226";
I accord est donc très satisfaisant; les nombres de Laplace, pour les mêmes coef
ficients, étaient
1634", — З860", 262";
ces valeurs de Laplace supposaient
B, — -
m' « F
n — 2 n' h- о
b: =—
1 n'(m"F' — тСт)
2 n — 2 n' -+- 1 1 I
B î=-;
m'a" G'
— 2 n 1 H- I 2 I
Les termes considérés par M. Souillart ajoutent de légers compléments aux
équations (39); mais nous ne pouvons pas insister sur ce point.
Ln terminant, nous ferons une remarque sur le calcul des inégalités pério
diques, tel que nous l’avons présenté au commencement de ce Chapitre. Consi
dérons, pour fixer les idées, la portion suivante de la fonction R 0 ,
r» 3 , a*
B 0 = - m n —72 e cos ( /' — CT ) ;
2 a 2 '
on en tire
de
3 .
, a 2
dt
= m ]
2
n — sin ( /' —
a'-
m),
dm
3 ,
a ~ , „
dt
— -\ — m
2
n —— cos ( /'
m).
Si nous voulons en déduire Se et eS&, il convient d’avoir égard à la variation
de cr, comme on 1 a fait pour la méthode de Poisson dans le cas de la Lune. Or,
d après la formule (9) de la page 19, la partie principale de ~ est égale
a 2 cos (l’—m)
о i ; il viendra donc
de
3 ;
- m n ,,
2 й ' *' ~ □□
3 a 2 sin ( F — w )
ед7П — - rrv n — 1 ’
О п'Ъ
On en déduit
(47)
n' — [ о I
*1 3 я 2
on — - m n —
2 a 2 ■— 1
sin V
dk
n — O
3 a
- m n
2 a
'2
COS 1'
tandis que nous avions trouvé (p. 1 7),
(48)
3 , ci 2 si n l
on = - m n —rr —7— '
2 a ' 2 n'
si 3 a 2 cos/'
àk = — nin —- —
о
T. - IV.