LIVRE I.
métalloïdes. — deuxième division.
solubles, dégage, en général, à peu près les mêmes quantités de
chaleur que l’union de l’acide formique avec les mêmes bases. Ces
valeurs sont très voisines de celles que fournissent les acides
chlorhydrique et azotique, mais un peu plus faibles.
En outre, l’action dissociante de l’eau est plus sensible pour les
acétates métalliques, que pour les chlorures et azotates de même
métal, et même que pour les formiates. Déjà, les acétates alcalins
solubles éprouvent une légère dissociation sous l’influence de l’eau ;
avec les acétates métalliques, la dissociation est bien plus marquée.
Pour l’étude détaillée de l’acide acétique, voir le Livre III : Chi
mie ORGANIQUE.
c’est-à-dire un peu plus de chaleur que la première molécule; ré
sultat analogue à celui qui s’observe avec les sulfates (voir ce Vo
lume, p. 93).
Un excès de base est sans influence sur les équilibres entre
l’acide oxalique et la soude, suivant les proportions relatives
d’acide, de base et de sel neutre.
L’acide oxalique, en formant des sels solubles, dégage des quan
tités de chaleurs voisines de celles de l’acide chlorhydrique, avec
les mêmes bases, mais un peu plus fortes. Les oxalates bibasiques
solubles sont stables en présence de l’eau.
Pour les autres acides carbonés, voir le Livre III : Chimie orga-
5. Acide oxalique.
C 2 II 2 CP — 90•.. bibasique.
C 2 H 2 0 4 diss. -4- Cl 2 gaz = 2 H Cl diss. 4- 2C 2 0 4 diss
-4 83,3
Neutralisation :
C 2 II 2 0 4 dissous 4- aNaOII dissoute.
G 2 H 2 O 4 dissous 4- NaOII dissoute..
>- 28,6
Donc la 2 e Na OH dissoute dégage
B., A. [5], IY, 108; 1875.
B., A. [4], XXX, 435; i8 7 3.
NIQUE.