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ces relations sous le nom de structure . L'opération de recherche des
structures "utiles" peut être appelée "STRUCTURATION". On doit pou
voir "lire" l'image comme un texte : les différents caractères ou
associations de caractères sont des "formes" du paysage, de même que
lettres, syllabes, mots, phrases sont des "formes" du langage. Enfin,
la dernière partie de ce système consiste à faire correspondre un
thème ou une propriété de l'espace à chaque structure identifiée sur
l'image (une ville peut être considérée comme un "espace construit"
ou un "espace non cultivé"...). Ainsi, le passage des formes aux
objets ne se fait pas par "reconnaissance des formes", mais grâce à
des modèles. Nous appelerons cette troisième opération la MODELISA
TION. Certains modèles complexes conduisant à la détermination des
unités d'une carte géologique par exemple, ont déjà été définis
d'une manière plus ou moins empirique, mais ne sont généralement pas
encore automatisés. Par contre, nous verrons que certains modèles
qui ont pour but par exemple d'extraire les champs cultivés, ou bien
les routes, les rivières, sont actuellement utilisables. L'avantage
de cette approche théorique est de pouvoir bâtir un système de carto
graphie à "tiroirs" dans lequel un certain nombre de sous-programmes
peuvent être utilisés pour réaliser les trois étapes de la méthode :
texturation, structuration, modélisation, en fonction du thème précis
de telle étude particulière. Nous avons seulement réalisé des élé
ments du système. Certains concernent la texturation, d'autres la
structuration ; quant à la modélisation, elle n'est encore ébauchée
que pour des cas simples.
III - RAPPELS DE QUELQUES METHODES DE TEXTURATION
La TEXTURE concerne l'ensemble des caractères pris en compte
qu'ils soient spectraux, spatiaux, mono ou pluri-image. La différence
de parallaxe par exemple, donc l'altitude, est un élément de la tex
ture aussi bien que la signature multispectrale. Dans les exemples
ci-dessous, nous utiliserons tantôt une texture spectrale (cas des
enregistrements de ERTS I), tantôt une texture spatiale obtenue par
topologie (recherche des champs cultivés, d'une rivière, ...) ; de
même, des éléments texturaux de caractère quelconque peuvent être
introduits "à la main" par un interprète.
dif f é
guées
repré
pris
Nous admettons que l'étape de texturation a pour but
rencier toutes les classes de 1'image qui peuvent être di
, sans nullement se soucier, au départ, de ce qu'elles pe
senter (Brun et col., 197^)« Le mot texture est bien ente
dans le sens général que nous venons de définir.
de
s t in-
uvent
ndu
1) Analyse Discriminante
(méthode "supervisée")
C'est un procédé
mensionnelles pour séparer
une image M, en sous-nuages
(1) M = U |m /j =
utilisé en analyse des données
une population de n individus,
M. (ou classes d'appartenance
multidi-
formant
, avec
1