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tal, si nous
is les droites
,a. La droite
et de l’axe X
perpendicu-
p le point cF,
perspective
e oc perce le
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il n’y a plus
. Pour avoir
Jrons celle du
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point s° en prenant d’abord la perspective d’une perpendiculaire au tableau
abaissée de ce point comme nous l’avons déjà fait plusieurs fois, puis remar
quant que la droite os 0 coupe le tableau en un point 1' distant de Y d’une quan
tité z\'h, il faudra chercher sur l p o p le point situé à celte distance de Y, ce que l’on
obtiendra évidemment en prenant z p l' p =:zl' h , et menant par % p une parallèle à Y,
elle ira couper l p o p au point cherché, que nous aurions dû noter s op , d’après les
conventions précédentes, et que, pour plus de simplicité, nous notons seulement
s*. Nous obtenons de même le point/*, en remarquant que la droite s*f K doit être
parallèle à X ; enfin, nous avons obtenu le point if de la même manière.
Nous avons varié dans cette épure les moyens employés pour obtenir les per
spectives de tous les sommets du polyèdre, afin d’enseigner toutes les méthodes
connues, laissant au dessinateur le choix de la méthode qu’il jugera préférable
dans chaque cas particulier.
494. Il nous reste à faire quelques observations sur la ponctuation de la figure.
Remarquons d’abord que les projections d’un corps sont les perspectives de ce
corps pour un observateur dont l’œil serait placé à l’infini sur une droite perpen
diculaire au plan horizontal ; ou sous un autre point de vue géométrique, chaque
projection sera Vombre portée pour une direction de rayons lumineux perpendicu
laire au plan horizontal 5 les faces du polyèdre concourant au point s seraient
seules vues: donc, sur la projection horizontale, les droites, qui forment le con
tour de ces faces, devront être pleines; les autres lignes sont ponctuées, et la
ligne brisée abi gfea serait pour cet observateur le contour apparent du polyèdre.
Pour un observateur dont l’œil serait placé à une distance infinie sur une perpen
diculaire au plan vertical , on trouvera facilement que le contour apparent est la
ligne brisée absfeda , de sorte que ce contour et les lignes sa, se, ae, doivent être
tracées en lignes pleines.
Cette ponctuation des deux projections est sans préjudice des parties cachées
par les plans de projection, et qui pourrait obliger d’écrire en ligne ponctuée
quelques portions de celles que nous venons d’indiquer comme devant être
pleines. Les principes précédents appliqués à tous les corps que nous considé
rerons dans la suite de ce cours, complètent ce qui concerne la ponctuation des
projections des figures de l’espace que l’on veut représenter, et dont la partie la
plus simple a été exposée précédemment (n° 16).
Relativement aux ombres , le polyèdre porte ombre sur la partie adcg°f 0 s o a du
plan horizontal, de sorte que si le corps était enlevé et que l’ombre restât, elle au
rait la forme représentée (fig. 168), mais pour l’observateur regardant la pro
jection horizontale, le corps cache une partie de cette ombre, et elle lui paraît
avoir la forme ae h f h kg o f 0 s°a ; c’est pourquoi nous n’avons haché que cette partie du
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