CHAPITRE I. — HISTORIQUE DES INSTRUMENTS ET DES MÉTHODES. 165
On a les deux équations:
(0
(*)
et, en éliminant/',
D J' f
M 1)
d’où
(3)
M _ 1 ) — /
m ~ f
M=y(D-/).
Ce qui démontre le théorème de Reiclienbach, le rapport -j
étant constant.
On peut encore écrire la relation (3)
J) = M +/;
m J
or le rapport ^5 qui n’est autre chose que la tangente trigo-
nométrique de l’angle micrométrique ou stadimétrique, est
fait égal tantôt à -¿j (comme ci-dessus), tantôt à jÿ, ,-Jo»
2u0? 6tC.
Après avoir multiplié l’intervalle M intercepté sur la mire
par 67, ou 5o, ou Go, etc., ce qui se fait d’ailleurs immédiate
ment par la lecture des divisions de la mire tracées convena
blement, il suffit donc d’ajouter la distance focale constante/