MÉMOIRE SUR UNE PROPRIÉTÉ GÉNÉRALE etc.
203
On aura donc
S„ = l, Ipx
f' fæ. dh
-J '~f^
L’équation (147) donne 1l (0) — 1, et l’équation (184)
e\x 1 0) = v 0 B (0) = v 0 (x) ;
on aura ensuite la fonction cpx par (185), savoir:
cpx = log v 0 (x).
Les équations (182) qui détermineront
ry* rv> ry*
fA ì 1 ll/ 2 •) ••• u 'et 7
seront
(198) «o(*i) = 0, v 0 (x 2 ) =0, ... v 0 (x a ) — 0,
et celle qui donne z l7 z 2 , . . . z 0l
(199)
M z )
(*—■**) • • • (*—*«)
0.
Cela posé, la formule générale (179) deviendra, en remarquant que
m — 0,
(200) tpx 1 -J- ipx 2 -J- • • • ipx a -}- \jJZy -[- ifjz 2 -j- • • • -j-ifjz e
= C— VI log- v 0 (x) + 2 » d
dp*- 1 \ f4 v) p A)(/^
Les équations (198) et (199) donnent
î? 0 (a;)'?==a(a; — aq) (æ— x 2 )(x — x 3 ) . . . (x — x a ).(x — 2 X ) (x — z 2 ) . . . (x—z 0 ).
D’après l’équation (172) il est clair qu’on peut faire 0 — 0. Alors on
aura, en faisant en même temps v — 1,
Ppjpp
C— Tl =- [log a -f- log {x — x,) -f- log [x — x 2 ) \- log (x — x a )]
J 2 x
Af)X
+
fl
№
[log a + log(¡3 — x,) -(- log ((3—x 2 )-\ 1- log {fl x a )].
En faisant a = 1, il viendra
( 201 ) = 0—n j* m log(x — z,) + 2v~ log(/3 — æ,)),
formule qu’il est aisé de vérifier. Elle donne, comme on le voit, l’intégrale
de toute différentielle rationnelle.