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(ÿ + \ -'U + » ~ — <■, et s + lJs—(n + ^Jy + /)-^-=c'
et en éliminant L s-\-XJs——— — c'.
Z AT
Si les deux extrémités du polygone sont fixes, l’équation aux limites est
satisfaite. Lorsque c et c' sont connus, rien n’est plus facil que de construire
le polygone ; car étant la tangente de l’angle compris entre le côté s et la
ligne horizontale, et s et z1s étant donnés dans chaque cas particulier, on connaît
les côtés et les angles qu’ ils forment avec une droite donnée et par conséquent
il est facile de construire le polygone. Les constantes c et c' dépendent des
coordonnées des extrémités, et des côtés du polygone, et on pourra sans diffi
culté les trouver ; mais comme cela est un peu prolixe, et qu’ il n’ appartient pas
proprement ici, je ne m’y arrêterai pas.
Scolie. Le point essentiel dans l’application des équations générales
trouvées plus haut, est l’expression des équations de condition. Cela n’a pas
de difficulté lorsque la condition est exprimée directement par une équation
p. ex. (f(æ, y, z) = 0; car il ne s’agit donc que de varier cette équation, mul
tiplier cette variation par un coefficient indéterminé, et l’ajouter à l’expression
sous le signe d’intégration. Si au contraire une certaine relation entre les
quantités variables n’est pas constante, mais donnée dans chaque cas particulier,
il faut égaler à zéro les variations des quantités qui dans ce cas se changent
pour tout accroissement fini z/x, Jy, etc. et de cette manière la condition sera
exprimée par une équation. Si p. ex. il s’agit d’un polygone, dont les coor
données des sommets ont pour chaque cas particulier une certaine relation
entre elles, exprimée par l’équation y(x, y, z, etc. a) — 0, où a est une quan
tité, donnée pour chaque sommet, il faut de cette équation tirer a=F(x,y,z, etc.)
et faire ensuite ôa — 0 = dF(x, y, z, etc.). Si la condition était que l’intégrale
d’une certaine fonction était donnée entre des limites déterminées, on pourrait
faire usage de la méthode suivante: {Lagrange).
Soit u la fonction dont l’intégrale est donnée entre les limites données.
Je fais s=2u, et la condition sera âs 1 —ôs”—0 puisque la différence s 1 —s"
est donnée. On a donc J s ■=. ?/, ou Js—?/,= 0; voilà donc T équation de con
dition qui a lieu pour toute l’étendue de l’intégrale, on n’a donc qu’à multi
plier la variation de cette équation par un coefficient indéterminé, et l’ajouter
à la quantité sous le signe d’intégration, qui devient par là