membre par membre, on obtient
donc q~ — c' 2 /? 2 doit être un carré parfait.
Pag. 388. L’expression de q donne en faisant z = 0:
1 = b(— lj^.d.od. e a d . • •
q' = b(x—é)(.r— $à) . . . (x—O 2 ^ -1 ^);
donc en divisant membre par membre
Pag. 393. Soit
p — A + A x z + • • • +
q — b o + 4“ • • • +
on aura
p—qy=A— B <n-\- (A—- B ,ÿ)~+(-4—+ • • • + Mi*.—-®i$)&
= [a — bg){z — x){z — x’) ... (z — x ).
On voit par la que A^ — a, B^ = b; donc si b = 0, q sera du degré g—1.
Si
xAe + eAx
1 — c^g^x 2
est une racine de y — ïpx, la quantité
xAe — eAx
î — c 2 e 2 x 2
le
sera également, en vertu des équations (142).
Soit l’équation (185) : a' — b'g — cpx,
on aura a'— b' — q(l)
et a' -j- b’ — ff (—1)=—</?(l),
donc a' = 0.
On tire de (142) en y faisant #=0 et écrivant 2n-j-l pour n :
e*(0) = e m ,
O 2n + i-m( 0 ) _ e _ mi
donc p — az(z‘ 2 — e 2 ) ... (z 2 — e 2 M ).
Pag. 396. Si « = 0, p sera du degré g — 1 et q du degré g. En
égalant les coefficiens de zv-~ x dans l’équation
p — PJ — i by{x—z)(x' — z)... (xW — z), («)
on aura
a' — b'y = + bg(x-\-x' -j- x" a?^ -15 ),
où a' et b< sont des constantes. On trouvera sous la même condition que dans
le cas précédent, qu’en faisant g — 2n-(-1, on aura