dans le baromètre, mais aussi se souvenir que l’échelle à la
température t ne donne pas la mésure. qu’elle doit représenter.
Si l’on désigne par
h l’indication de l’échelle,
q l’extension du mercure pour un degré du thermomètre
employé,
m l’extension du laiton pour un degré du thermomètre
employé,
T.... .la température normale, à laquelle toutes les hauteurs
du baromètre doivent être réduites (ici = 0° R.),
on trouvera facilement, que, pour réduire la hauteur observée
à la température commune de lechelle et du mercure = t,
à la température normale, la correction sera:
— h
1 +q{t-T)
Les tables de réduction sont calculées dans la supposition que
l’extension entre les deux points fondamentaux du thermomètre
soit pour
le laiton — 0,0018782
le mercure = 0,018018 ,
et de plus que:
1) pour l’ancienne mésure françoise l’échelle de laiton du
baromètre donne des pouces et des lignes de Paris, a la
température de + 13 0 R;
2) pour la mesure métrique que l’échelle de laiton donne des
millimètres à la température de 0°.
3) pour la mesure angloise que l’échelle de laiton donne des
pouces anglois à la température de 62 0 F.
La table IV sert pour des baromètres, qui ont deux ther
momètres attachés, dont l’un marque la température du mer
cure, l’autre celle de l’échelle. La partie supérieure de la Table
donne la correction de la colonne du mercure, l’inférieure celle
de l’échelle de laiton.
Soit /¿...l’indication de l’échelle,
t. . .la température du mercure,
la réduction, de la colonne du mercure est
= /¿.0,00022521
Pour la température r du laiton la réduction est
= h. 0,00002348 (r — 13).