GÉOMÉTRIE MÉTRIQUE
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alois sur la figure i35 ; nous avons, cette fois, CH — AH — AG
(au lieu de CH — AC — AH), mais nous tirons encore de là
GIP = AC 2 + AH* — 2AC x AH,
et nous obtenons comme tout à l’heure l’égalité (7) que nous pou
vons transformer en l'égalité équivalente (8). Soit enfin l’angle A
obtus ; la démonstration se fait alors sur la figure i36 ; nous avons
cette fois,
CH = AH + UC,
A
d’où nous tirons
CIP = (AH + AC) x (AH + AC) = AH 2 + AC 2 + 2AG x AH.
Portant cette valeur dans l’égalité (6) [où BIP est remplacé
par AB 2 — AH 2 ], nous obtenons
(9) BC 2 = AB 2 + AC 2 + 2 AC. AH.
D’ailleurs le triangle ABU nous donne AH = AB . cos BAH,
et nous savons que le cosinus de BAH est égal au cosinus né
gatif (‘) de l’angle A du triangle ABC (angle obtus supplémen
taire de BAH). Nous en concluons que l’égalité (8) a bien encore
lieu.
Si au lieu de partir du coté BC du triangle ABC, nous consi
dérons le coté AB ou le côté AC, nous obtiendrons évidemment
une égalité ou relation semblable,
219. — Les trois côtés d’un triangle quelconque sont propor
tionnels aux sinus des angles opposés.
Les triangles rectangles ABH, BHG nous donnent immédiate
ment, quel que soit celui des trois cas de figure auquel nous avons
affaire :
BH = AB . sia A et BH = BC . sin C
(*) Vide n° i56.
Boutroux. — Les Principes de l’Analyse mathématique. i5