F
■ ■■¡■I
■■Ш:Ш
ШЁШЯЁШЁШШЯ1ёШШШЯёЯЁШ
EXPRESSIONS QUI TENDENT VERS LES FORMES - OU
i^7
deviennent infinies pour une valeur déterminée a de la variable, leur
rapidité d’accroissement, mesurée par leurs dérivées f'{x), o'{x), le
/'O)
o'{x)
devient à plus forte raison, et que, par conséquent, l’expression
f(cc') CC
est, comme la proposée -, de la forme — • Mais cela tient assez sou
vent à des facteurs infinis communs qu’on aperçoit de suite dans/'(я-),
o\x), et qu’on peut supprimer; en sorte que la règle conduit bien
alors au résultat demandé. D'ailleurs, il arrive fréquemment que la
valeur a pour laquelle les deux fonctions /(a?), o{x) deviennent infi
nies n’est pas une valeur déterminée, mais bien une valeur infinie. Or
les dérivées f\x), <?'{&) ne sont alors nullement tenues de devenir
f'(x)
infinies, c’est-à-dire que le rapport peut ne plus se présenter
sous la forme illusoire — du proposé y—; et, cependant, la règle de
Cauchy continue à s’y appliquer, comme on va le voir.
87. — Extension de la règle au cas où c’est pour une valeur infinie de
la variable que les termes de la fraction considérée deviennent tous
les deux nuis ou tous les deux infinis.
Admettons que ce soit pour x =4- oc, ou bien pour x — — oo, que
f{x) et o{x) acquièrent à la fois ou des valeurs milles ou des valeurs
infinies. Alors, en appelant y l’inverse de x, ces fonctions, devenues
devront être considérées pour la valeur parfaitement
précise et déterminée y — o, valeur inverse de x — ± oo. On pourra
donc, avec la nouvelle variable y, appliquer la règle, et remplacer
le rapport des deux fonctions f ’ P ar ce ^ ll i de leurs dérivées
—dj. La suppression du facteur commun—
infini à la limite, donnera bien
(16) (pour y = о )
'fâ. '<;)
ou, en revenant à la variable proposée x,
(17) (pour x = 4- со ou —oc)
• Л>) fix)
un — lirn — ■
o{x) o{x)