Full text: Partie élémentaire (Tome 1, Fascicule 1)

FORMULE ET SÉRIE DE MAC LAURIN. 
rinite évidemment à F(x) —f{X) pour x — X, redevient égale à 
/(X) quand x, s’éloignant de X, atteint la seconde limite fixe que l’on 
considère : car M désigne justement la quantité qu’il faut pour que 
cela soit. Donc, d’après un théorème de la deuxième Leçon (p. 35), 
la dérivée, F'(#) — M/?(X — x)f’~ 1 , s’annule dans l’intervalle, pourvu, 
du moins, qu’elle y soit continue comme la fonction; ce qui aura lieu 
si fet ses n i premières dérivées le sont. En appelant encore æ + O/î 
la valeur intermédiaire dont il s’agit, on aura 
F'(ar-f-9A) — Mp(h — 0A)p-»= o; 
, T F'(# -+- 0/г) 
p(h — 0 h)P— 1 
Substituons à F'(a;-t-6h) sa valeur, déduite comme précédemment 
de (16), puis multiplions par hp pour obtenir MhP ou R„, et nous au 
rons la formule de M. Roche : 
(i8) 
Celle de Cauchy, (17), s’en déduit en donnant à p la plus ¡Telile valeur 
entière possible 1 et, celle de Lagrange, (1 2), en donnant à p la valeur, 
a -h 1, qui fait disparaître les facteurs h — 0h. 
93. — Formule et série de Mac Laurin : développements de e x , 
cosx et sin#. 
La formule (10) de Taylor donne celle de Mac Laurin lorsqu’on y 
compte les accroissements h à partir d’une valeur nulle de la variable, 
en prenant ainsi x=zo. Si l’on remplace ensuite h par la lettre x de 
venue disponible, on trouve 
(19) /И=/(о)+*/(о)+^Ло) 
Les expressions (11), (12), (17), (18) de R„ se transforment d’une 
manière analogue. Par exemple, la première, (11), et celle de Cauchy, 
(17), deviennent, l’une, 
(2°) 
l’autre, 
( 2 1 ) 
[/t»)(0a?)_/ (e) (o)], 
Enfin, le second membre de la formule (19) prend le nom de série
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.