;s.
FONCTIONS DE DEUX ET DE TROIS VARIABLES.
en servir comme
’est-à-dire pour
leurs valeurs.
Lee à un système
y par rapportan-
d’un quelconque
rement OM' = x
irtaine fonction ;
r des lignes, la
qu’en un seul
tes points isolés,
rec son ordonnée
ir la branche de
['— x. On a donc
mque, y — f{x),
nt une unité de
Dscisses égales à
esquelles la fonc-
nt à 0/, une or-
r correspondante
mnées constitue-
e fols construite,
fonction. Or une
re chose qu’une
ordinaires de con-
e fonction d’une
e.
is deux fonctions,
à deux axes Ox,
s abscisses, Tab
ulée M"M, tandis
itenant l’abscisse.
:cupe par rapport
•là Ox, exprime
es valeurs simul-
mies que dans la
oies de x et de y.
que sont inégales
:tion inverse de J.
oe plane ne laisse
rien à désirer quand la fonction ne dépend que d’une seule variable.
Et elle peut même s’appliquer aux cas où les variables sont en nombre
quelconque, à la condition de prendre successivement chacune d’elles
pour abscisse et de ne faire varier alors que celle-là. Mais, bien qu’on
puisse, de la sorte, par un examen plus ou moins long, savoir com
ment la fonction se comporte quand plusieurs variables changent à la
fois, il est préférable de chercher un mode de représentation où Ton
voie d’un coup d’œil l’ensemble de toutes ses valeurs. La Géométrie
le fournit encore quand il n’y a que deux variables, comme dans une
fonction, z, de la forme z — f{x, y), car toute surface rapportée à un
système d’axes est l’expression d’une telle fonction.
Imaginons, par exemple, un plan
point P sera parfaitement défini
(ou pourra être construit sans indé
cision) au moyen de ses deux coor
données OY*'— x et P'P =y. Si,
par ce point P, on mène une paral
lèle PM à Taxe vertical Os, et qu’elle
rencontre la surface proposée SS',
celle-ci étant sans épaisseur n’aura de
commun avec elle qu’un seul point M
ou, tout au plus, des points isolés les
uns des autres, qui pourront être
censés appartenir à tout autant de
nappes de la surface et seront ainsi
parfaitement déterminés, chacun sur
la nappe qui le contiendra. Donc,
par exemple, sera bien une certaine fonction des variables x et r.
Réciproquement, toute fonction f{x, y) de ces deux variables per
mettra de construire, pour chaque système de valeurs de x et de y
exprimé par un point comme P, une ordonnée z—f{x, y), telle que
PM; et l’extrémité M se déplacera peu à peu, quand x et y varieront,
de manière à donner un lieu géométrique sans épaisseur, mais s’éten
dant, comme la portion correspondante du plan des xy, en longueur
et largeur, si du moins la fonction f{x, y) présenteles conditions
ordinaires de continuité que nous étudierons bientôt. Donc, pour
toute fonction de deux variables, il existe une certaine surface qui
la représente.
Quand les variables sont au nombre de trois, la Géométrie pure
devient impuissante à figurer les fonctions d’une manière commode.
Mais il suffit, pour en avoir une expression encore assez simple, de