'battu ce qiion favoit déjà. Que la
Nature agit toujours par les voyes
les plus iimples. Ils verraient
que ce prétendu Axiome , qui iIen ejî un
qiiautant que lexiflence de Dieu ejî déjà
prouvée , ils verraient, dis-je , que cet
Axiome ejî Ji vague , qii on lia pu en--
core jusqu’ici déterminer en quoi coififie
fin application.
Il sagijfiit de tirer toutes les Loix
du Mouvement {¡fi du Repos d’im fini
Principe métaphyfique ; çjf de très
grands Philofiphes ! avaient entrepris.
Descartes s’y trompa, c’efi affés dire
que la chofie étoit dijficile : il crut que
dans la Nature La même quantité
de Mouvement fe confervoit toû-
JOUIS. C’efi a dire , qu a la rencontre
des différentes parties de la matière , la
Modification du Mouvement étoit telle
que toutes les majjes multipliées chacune
par