DEUXIÈME PARTIE.
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constatons aussi 1° que les produits de chacune des égalités [1] et [2] par le
nombre 4 prouvent, si on les rapproche de [3], l’étal entier des nombres
2T 2t . .
2° que les produits de l’égalité [3] par chacun des nombres (U,) 2 ,
peuvent être écrits
[5J (B.U 1 +T,)(B 0 Ü,-T,) = A.A 1 (U 1 ) 1 —m';
[6] — i.) = A,A,— nf-,
les premiers membres sont des multiples de trd ; or, dans l’état actuel des faits,
chaque facteur de ces membres est un multiple de m; en effet, 1° l’état non-
multiple de m, admis , par exemple, pour chacun des deux facteurs du premier
membre de [5], donne, après division par m, deux restes /■„, lesquels,
par suite des conditions — , — nombres entiers, sont nuis, car ces restes
1 m m 7 7
doivent vérifier les égalités r 0 -j-/*, = (), t\— /,= 0; 2° l’état multiple de m
attribué à l’un des facteurs du premier membre de [5] ne peut, le nombre 2Ï
étant multiple de m, être nié pour l’autre; concluons : l’état multiple de m
appartient à chacun des quatre facteurs précités, appartient donc au nombre
Ui(A4“ B 0 a)—«„№ + !,), ou, après réductions, appartient au nombre
ÜA — «„T, ; donc , paragraphe a) , le nombre u est entier , et par suite de l’éga
lité 6 2 — Du 2 =m 2 le nombre 6 est entier.
c) L’égalité u = 0 est inadmissible; de cette égalité admise, on déduit
La—wJn OU (U 1 ) , (0* = W l (T 1 )*, ou (U t 7[D(« n ) 2 + nf\ — (w n ) 2 [D(ü 1 ) 2 -f- nf] ,
ou circonstance que l’hypothèse première 13, > a rend impossible,
ainsi le nombre u n est pas inférieur à U , à ce nombre qui dans toute cette
théorie, a désigné la plus faible valeur entière, après zéro, applicable à la
lettre générale u.
d) Des valeurs de t n f n+1 , u n u n+l on déduit facilement les égalités
A+l4»-(-lA' A^W 1 tn U n-dn+l > RWn+lA —L 21 (2,A—1 f^A A—1l) ?
et 1’abaissement successif des indices amène, quel que soit le nombre entier n,
les égalités finales
Ai+i^n ^n-J-i A — u do * h U Q— W-U , t n _|_A L>A+iA tu 1,
delà résulte que l’égalité u = U qui amène l’égalité Ô=ï est inadmissible, car
cet état donne, paragraphe«), les égalités « n+1 = U, £ n + 1 = T 1 , lesquelles