PREMIÈRE PARTIE.
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2° L’égalité évidente
-h 0 H - ^)=(^ -f- 2/ï -|-1 ) 2 —(x+^4" 4/lS + 3w +i + 1 ) »
égalité clans laquelle le second terme du second membre est négatif, prouve
l’exactitude de l’inégalité R < q -j- 2n -j- \.
4d. Étant donnée à résoudre en nombres entiers et dans les conditions
citées, l’équation possible x % + r= P.j, l’ensemble des trois numéros qui pré
cèdent établit qu’une solution est toujours donnée par l’égalité certaine.
[B] (4?+1)(~^+n)==(?+ 2n —'£)H-1 s tì(2S—k)+'i^-\-n—(2n—S}*].
1° Nous admettons que les nombres entiers
. — 3,-2, -1, 0, 1, 2, 3
substitués à n, n’ont pu réaliser l’égalité [B], et par conséquent les limites de
ce nombre n sont 4 et 3 ) , 2° le nombre entier B est non supérieur à tz ;
3° le second terme du second membre de l’égalité [B] est égal à r : ces faits
préliminaires constatés, on peut prouver que si l’on multiplie l’égalité [B] par
l’un des deux carrés 2 2 , 3 S , l’une de ces multiplications transforme l’égalité [B]
en une autre, dans laquelle le coefficient nouveau de Uq-\-\ = P sera non
supérieur à q -j- 3 ; et par suite l’exactitude de ce premier cas du théorème
énoncé n° 41, sera démontrée.
Le produit de [B] par 2 2 est
(4 ? -)_1)(r / _i-)-4«)=(2?+4n—2S)*+2’[y(2S—A')+ 1 =^+«—(2« —«)'],
ou, après soustraction des multiples de kq-\-\ communs aux deux membres,
[C] (4ÿ-f-I)[^-—k—(4n—48'—4)]=[4n— (2o—j—)—l)] 2 ——4)-J- (-/z—(2n—S) 8 ];
Ainsi l’égalité certaine [B] dans laquelle le coefficient de 4q-\-\ était supérieur
à —~ - -|- 3 est transformée en une autre égalité [C] à laquelle est applicable la
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