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ANALYSE INDÉTERMINÉE DU SECOND DEGRÉ.
on est également certain que le nombre n, en admettant la non-réussite
pour y des essais q, q—k, est un des termes de la suite naturelle
4, 5, 6, 7 .... q — k — 1 .... q—k — ^'i
3° La racine R qui vérifie l’égalité [AJ est q-\-2n— à, le nombre à étant po
sitif et non supérieur à n \ ces faits établis, on sait qu’une solution est toujours
donnée par l’égalité certaine suivante :
[B,] (4?+3) (i=I + n\ =( 7 +ï»-8)>+l'[ î (ïS-*)+3« + 3(£pÎ) -(ia-s/h
de cette égalité on déduit après multiplication par 2 2 et par 3 2
[C t ] (4?+3; (g—*4-48 — 4«-f-3)=(4/i — 23 —2?— 3) 2 -|-2 2 [Vy(25 — ¿)-f3/i-f 3^=^—(2/î—ô) 2 ],
[F,] (4<7-J-3) -f-6S—3«—2A -f 3^ =(6«—33—q—3) 2 -f 3 2 [y(23—/) -f 3« + 3 —(2«—S) 2 ] ;
des raisonnemens analogues à ceux qui ont été faits dans le cas précédent
prouvent que la transformation de l’égalité [BJ en l’une des égalités [CJ et [DJ,
le multiplicateur de 4</-|-3 n’étant pas supérieur à ^-j-3, est subordonné
aux conditions hypothétiques
[DJ 4(»_i)=>®fc=ü,
[FJ » = <5+1-
Admettons l’inexactitude de la seconde condition, c’est-à-dire soit
[GJ »>Î-H.
de là on déduit 2n — £ < ^ — 'l? et en employant la lettre h comme dans le
cas précédent, on a
[RJ 40— £) = 2/* — 4/z;
si, à la racine q-\-2n-—iï et dans légalité [B,], on substitue la valeur q-— h,