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où toutes les parenthèses {x, y, z) doivent, dans chaque application
qiron fera, être partout remplacées soit par la première des lettres
qu’elles contiennent, soit par la seconde, etc.
Du reste, une fois que les dérivées premières en x,y, z des fonc
tions proposées u, v, w, ... se trouvent exprimées de la sorte en
f, ï), i, ce sont de nouvelles fonctions de £, r\, Ç; et leur propre diffé
rentiation en x, y, z se fait, par conséquent, au moyen des formules
symboliques (18), de même que, dans le cas d’une seule variable indé
pendante, deux applications successives de la formule (38) de la der
nière Leçon [p. 80*] avaient donné une dérivée seconde en x. De
proche en proche, on obtiendra donc en fonction de ç, 7), Ç, toujours
par le même procédé, les dérivées partielles de tous les ordres des
fonctions u, v, w, ... par rapport aux anciennes variables x, y, z.
Et la question sera résolue.
Si l’on ne se contentait pas de changer les variables indépendantes,
mais qu’on voulût aussi remplacer les fonctions u, v, w, . .. par
d’autres, U, V, W, .. ., reliées à elles et à ç, r h Ç au moyen de cer
taines équations, il suffirait évidemment de substituer, à u, v,w, . . .,
leurs valeurs en ç, tj, Ç, U, Y, etc., dans les seconds membres de la
relation (17) et de toutes les autres relations semblables.
68*. — Exemple, dans un cas où l’on ne change pas toutes les variables
indépendantes.
Appliquons cette théorie à un exemple tiré de l’Hydrodynamique.
Supposons que x, y, z soient les coordonnées, à l’époque t, des di
verses particules d’une certaine masse fluide en mouvement, rappor
tée à un système d’axes rectangulaires fixes, et que r ( , Ç désignent
les coordonnées de ces mêmes particules dans un certain état spécial
du fluide, état soit réel, soit seulement fictif, qu’on prend comme
point de départ ou terme de comparaison, il est clair que les coor
données actuelles x, y, z sont certaines fonctions, non seulement de t,
mais aussi (en tant que variables avec la particule) des coordonnées,
dites primitives, ;, r n Ç : ce qui n’empêche pas de pouvoir aussi con
sidérer x, y, z comme variables indépendantes, car les phénomènes
produits, à l’époque t, dans les diverses régions (x, y, 5) de l’espace
occupé par le fluide, s’expriment évidemment par des fonctions de
point où figurent ces coordonnées actuelles x, y, z. Ainsi, les équa
tions (i3) de la transformation contiendront ici t dans leurs seconds
membres, en outre de ç, rj, t. Cela posé, l’état actuel de mouvement
du fluide est défini par les trois dérivées
djæ, 7, z)
dt
y qui sont, au point