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QUAND LES AXES COORD. TOURN. : C.ONDIT. D’ISOTROPIE QUI EN RESULT. 115*
figurera dO — v en facteur) de chacun des nouveaux coefficients,
ainsi obtenus, sur le coefficient analogue antérieur à la rotation dO,
sera évidemment la différentielle de ce coefficient par rapport à 6,
et, divisé par t, donnera sa dérivée ^ • Les dérivées, par rapport
à 0, des coefficients considérés, égaleront ainsi des fonctions con
nues, linéaires et, par conséquent très simples, des valeurs ac
tuelles des coefficients eux-mêmes. Les relations exprimant cette
égalité seront ce qu’on appelle des équations différentielles li
néaires : nous verrons vers la fin du Cours qu’elles suffisent pour
déterminer complètement les variations, en fonction de G, des quan
tités dont elles donnent les dérivées, c’est-à-dire, ici, des coeffi
cients de la fonction entière que l'on étudie; en sorte qu’elles con
stitueront comme l'expression même, ou la forme la plus simple
possible, des lois régissant la variation des coefficients dont il
s’agit.
Et l’on étendra aisément ces lois, sauf à effectuer dans les notations
les changements convenables, au cas d’un déplacement quelconque
des axes autour de l’origine; car, le nouveau plan des xy coupant
toujours l’ancien suivant une certaine droite tirée à partir de cette ori
gine, on pourra d’abord, par une rotation finie autour de l’ancien axe
des z, amener l’axe primitif des x, ou celui des y, en coïncidence
avec cette droite; puis effectuer une seconde rotation, mais autour
de l’axe actuel des x ou des y, c’est-à-dire autour de cette même
droite, jusqu’à ce que le plan des xy et, par suite, l’axe des z vien
nent occuper leurs situations définitives, et opérer enfin une troisième
rotation autour du nouvel axe des z, pour faire arriver également les
deux autres axes dans leurs positions finales.
7(3*. — Application à l’isotropie des corps.
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La théorie précédente s'applique surtout à l’étude des corps iso
tropes. On appelle ainsi ceux dont les propriétés, relatives aux lois
qu’j suivent les phénomènes dans une étendue infiniment petite autour
d’un point quelconque {x, y, z), s’expriment de la môme manière,
c’est-à-dire au moyen de formules pareilles et contenant les mêmes
constantes physiques, quel que soit le système des coordonnées
choisies, parmi ceux que l’on obtient en faisant tourner arbitrai
rement autour de l’origine l’ensemble de trois axes rectangulaires
Ox, O y, Oz.
En général, les fonctions, toujours entières, représentant ces pro-