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les asymptotes aux courbes algébriques le sont doublement. 17,3*
tiligne sont toujours en nombre pair. Pour le voir, imaginons qu’on
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rapporte une telle courbe à l’une quelconque de ses asymptotes poux-
axe des y, de manière qu’il corresponde, à chaque branche s’y rac
cordant à l’infini, une ordonnée y distincte et indéfiniment crois
sante en valeur absolue. Construisons, en même temps que cette
courbe, celle dont les ordonnées, que j’appellerai Y, égalent respecti
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vement, pour chaque valeur de sc, les inverses des précédentes y. Son
équation se déduira évidemment de celle de la proposée en substi
tuant ^ à j, puis, en multipliant par un facteur, de la forme Y",
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propre à faire évanouir les dénominateurs, facteur n’altérant nulle
ment l’équation, car il est fini et distinct de zéro pour les petites
valeurs à considérer de x. L’équation en Y sera ainsi algébrique
comme la proposée, et, aux diverses valeurs croissantes de y dont il
vient d’être parlé, correspondront un même nombre d’ordonnées Y
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s’annulant à la limite X — O. Ou comptera donc, dans la première
courbe, autant de branches asymptotes à l’axe des y qu’il y aura,
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dans la seconde, de branches émanant de l’origine, c’est-à-dire,
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toujours, un nombre pair.
La propriété dont il s’agit ne se retrouve plus dans les courbes
transcendantes, même limites de courbes algébriques, quand une
partie de celles-ci s’évanouit en s’éloignant à l’infini et que leur
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autre partie, s’allongeant sans mesure à la suite de la première, devient
asymptote à une de ses tangentes. C’est ce qui a lieu dans la logarith-
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raique y = e x , limite des paraboles de degré élevé y — { i + — ) ?
limine, pour dapil
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où l’exposant m, nue ie supposerai, par exemple, entier et pair, est
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censé croître indéfiniment. L’axe des x, tangent à la courbe pour
x — —m, c’est-à-dire à l’extrémité de l’axe de symétrie de la para
bole, devient asymptote, et asymptote seulement du côté du point de
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contact ou des x négatifs, lorsque l’abscisse — m de ce point est
x~— 00 et que l’axe de la parabole, en disparaissant ainsi à l’infini,
a mis, en quelque sorte, hors d’emploi, par l’éloignement, la moitié
de la courbe située au delà, avec une grande partie de celle qui est en
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deçà, savoir, en tout, ce qui répond à des valeurs absolues de x soit
comparables, soit supérieures à /n, et pour lesquelles la formule algé
brique se trouve d’ailleurs entièrement étrangère a l’exponentielle.
La logarithmique est donc asymptote d’un seul côté à l’axe des x\ et
là même est, comme on l’a vu plus haut (p. 6*), la raison du point
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d’arrêt que présente la courbe y — e*, transformée de la logarith
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mique par le changement de x en son inverse.