PERIODE IMAGINAIRE DE 6 X . LOGARITHMES IMAGINAIRES.
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'-eV, si l'on y
in restent pas moins
relations symboliques qu’on peut écrire, d’après (43),
cos( II — v) -1- y/ — I sin(ii -f- v)
= (cos U -+- /- I sin u) (cos P + / — I sin V) ,
cos( u -4- v) — y/— I sin (« -f- c)
= (cos II — \J — I sin II) (cos v — y/ — I sin v).
Et celles-ci, de la forme de (20) [p. 11 *], donnent immédiatement les
formules (19) [comprenant (16), (17) et (18), pp. 58, 7* et 8*] par leur
demi-somme et leur demi-différence, après qu’on a effectué dansles se
conds membres les multiplications indiquées. De e u+v+WH — — e n e v é w " %
on passerait de même à la formule de Moivre (21), qu’il faudrait encore
dédoubler en y mettant successivement -+- a et — u au lieu de u, afin
que la demi-somme et la demi-différence des résultats conduisissent
aux expressions (22) de cos mu et de sin mu. Enfin les deux relations
(29) [p. 27*], qui deviennent à la limite des identités, montreraient
encore que les décompositions (3o) de cosir et de sin.27 en facteurs
sont valables pour des arcs imaginaires comme pour des arcs réels.
De ce que les formules (19) subsistent, on déduit que
cos (a? -t- 7ï) = cosx costï — sin a? sin 7Z = — COSX,
sin {x —I— TT) = sin 37 COS TT -t- COS37 sinTÏ = — sin37.
Ainsi, ajouter tz à un arc imaginaire, c’est, comme pour un arc réel,
faire changer simplement de signe son cosinus et son sinus. Et, par
suite, ces fonctions redeviennent les mêmes quand l’arc croît de 27: : elles
continuent à admettre la période ir.. D’autre part, si l’on considère
l’exponentielle e x , et qu’on ajoute ir.\J—1 à l’exposant, elle sera
multipliée par eW- 1 ou, d’après (43), par cos27ï-i-y/—1 sin2-i7= t.
Elle n’aura donc pas changé; et c’est ce que l’on exprime en disant
qu’à la période réelle, 27c, des fonctions cosinus et sinus, il correspond
la période imaginaire 2-rry/—1 de la fonction exponentielle. Par con
séquent, la fonction exponentielle est, elle aussi, périodique, à sa ma
nière.
Toute expression de la forme a -1- b\J— 1 ou p(cos6 -\-\J— 1 sinff),
si l’on y substitue e log P au module (toujours positif) p et, d’après (43),
gOy'- 1 à l’autre facteur cosO-hy/—j sin6, devient l’exponentielle
girgp+Qv^T^ et e ][ e p eu t même, comme on vient de voir, s’écrire
e iogp-H9+2iu)v/-i ) i désignant un nombre entier quelconque ou 2 îtz\J—1
tout multiple de la période 2-jt \J— 1. 1! est naturel d’appeler loga